C’est la la seule marge qui est laissee a chacun referente a fait sobre sexuation

C’est la la seule marge qui est laissee a chacun referente a fait sobre sexuation

Dans ce cas, il reporte simplement ailleurs una meme proposition et echoue anti?rtico le meme obstacle

dieciocho Cette jouissance phallique est referente a jeu dans l’ensemble de el fonction du meme nom, qu’il asi­ como ait ou impar fusiona exception a ce qu’elle impose : supremo de la jouissance. Lorsqu’une exception existen, l’homme en le choix entre crecer cette castration ou bien s’identifier a l’exception impar chatree, il peut jouir ou etre chatre, ce qui se traduit dans le discours novia y el novio ne pas avoir le phallus ou debido a l’avoir et, dans le rapport sexuel, avoir celle qui l’est ou pas. Pour la femme, le choix est aussi sobre renoncer ou non a cette jouissance phallique, puis de se faire ou non l’objet du desir de celui qui incarne l’exception, d’etre sobre ce sens le phallus ou pas. Una loi sexuelle derive sobre toute logique sobre ce systeme comportant le Nom du Pere comme exception, puisqu’elle vise l’universel, declinee comme algun rapport sexue entre celui qui l’a et celle qui l’est. Substituant un objet dit d’echange a l’Autre sexe, le feminin, elle procede d’un vidage de su fonction sobre l’Autre, et suponga une equation phallique de l’objet qui s’apparente a une pereversion, selon le jeu sobre mot lacanien.

19 Una question de su sexuation n’est pas, des lors, sobre relever ou pas de su fonction phallique, puisque les deux sexes relevent de cette fonction, mais d’en relever entierement ou pas, l’homme referente a relevant sobre facon necessaire. Sobre sorte que la fonction phallique, certes, inscribiri? causa meridional cualquier symbole qui est d’abord masculin, mais a terme ne definit pas de veritable sexuation, car seul sera masculin d’en relever entierement, alors cual le feminin sera sobre n’en pas relever entierement. Sobre ce sens, una jouissance phallique, anti?rtico son versant symbolique : anti?rtico resultan versant organique, n’est pas comme telle masculine, elle est universelle, a moins de considerer cual le masculin est universel. C’est de n’avoir que celle-la qui est masculin, et de ne pas avoir que celle-la qui est feminin. Voila qui repartit, avec les equations lacaniennes, una sexuation de facon tout autre qu’un sencillo masculin et feminin avec cualquier peu de l’un algun peu sobre l’autre chez chacun, comme on dit.

treinta Sobre ce fait, pour qui releve entierement sobre cette fonction dans una mesure ou l’un s’en excepte, elle a un caractere necessaire, et tout homme : tel acerca de releve. Tandis que pour qui n’en releve pas entierement dans una mesure ou nul ne s’en excepte, elle en cualquier caractere contingent : pas toute femme n’en releve. La ou elle est sobre l’ordre du necessaire, on ne sort pas de l’?dipe acerca de somme, on sobre renverse simplement les termes : de l’interdit avec castration, on passe a l’identification avec transgression. La ou elle est contingente, on peut de meme choisir sobre rester dans le systeme ?dipien du Nom du Pere acerca de renversant les termes, de l’avoir phallique vis-a-vis de la mere passer a l’etre phallique vis-a-vis de l’exception ou des hommes. Si l’?dipe structure des fils et des filles, il ne forme sobre aucun cas algun homme et fusiona femme.

C’est la jouissance du sujet qui parle et se soutient dans l’existence

22 L’homme s’inscrit donc dans cette necessite tant qu’il ne bascule pas, a una faveur d’une rencontre, dans aglutina logique qui la rend contingente. Il s’y inscrit parfois indefiniment, puisqu’il peut sans cesse refuser ce basculement dans amalgama autre logique lorsqu’il se podri­an mover presente.

18 L’issue de cette logique procede elle aussi sobre l’exception, mais sous fusiona forme unaire, et impar pas universelle. Algun couple sexuel peut, dans tel cas particulier, construire cualquier homme vis-a-vis d’une femme. Il n’est plus alors, dans l’universel, le fils d’un Pere qui tous les chatre, qu’il y soit ou impar identifie, il n’est plus entierement dans le cadre de su fonction phallique, et cela met objeto dans ce cas a la partition entre amour et sexe. La seule voie pour qu’amour et desir puissent se reunir sans l’interdit est cette issue partielle, celle d’une jouissance Autre, non pas a la place mais en supplement de el jouissance phallique. Un homme comme tel ne releve pas non superior entierement de la fonction phallique laquelle, en tant qu’universelle, ne produit cual des fils ou des peres.

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